Alain Bertho livre une analyse intéressante de la révolte jihadiste intégrant certaines idées de Gilles Kepel et d’autres d’Olivier Roy. Il met en lumière les effets produits par la mondialisation. « La génération qui vient est la première génération de la mondialisation, première génération postcommuniste, première génération posthistorique. Elle est aux premières loges de ce séisme culturel et politique, en première ligne du «No Future» que dessinent des pouvoirs sans alternatives et un réchauffement climatique qui s’emballe ».
Article publié dans Libération le 25 mars 2016 ici en pdf.
Dernier ouvrage paru : Les Enfants du chaos – essai sur le temps des martyrs, La Découverte, 2016
Laisser un commentaire